Le vertige à illusions périmées rimbaldiennes, solidement décrit dans la littérature scientifique (nombreuses cohortes au Japon, en Europe, sujets jeunes et spontanés, aisés à suivre) construit un sujet qui subit alternativement des épisodes mélancoliques puis enthousiastes, où ses rotations ont la vitesse constante d’un œuf dur sur les tables de cuisine de son enfance. La mélancolie est déambulatoire (syndrome des cent pas dans sa chambre). La libido est significativement augmentée. Le sujet ment spontanément sur son âge. La sudation développe une caractéristique odeur de sable, même sans révélateur chimique ajouté.